mardi 20 mai 2014

Pour une nouvelle année potagère en partage.

Les cultures des légumes sont enfin lancées et mises en bacs, cadres et autres planches potagères.
Bien sûr, comme chaque année les fraîches plantules ont eu à subir les assauts habituels les plus divers. Le vent, la pluie et les ravageurs ont instantanément agressé ces belles vertes et surtout croquantes à souhaits pour les gastéropodes en tous genres.
Naïvement, je croyais que cette année ces tourments me seraient épargnés...mais c'était sans compter sur ces aléas jardinier combattu par tous le potagistes avec plus ou moins de respect pour la nature contrainte de s'adapter, ou l'inverse!


 Fort de l'expérience de l'année passée, le bac potager installé à front de rue, du côté le moins ensoleillé, reçoit en culture ce qui s'y prête le mieux.
Ce sont donc des laitues batavia, et des "quatre-saisons", ainsi que de la chicorée frisée entourée de radis, avec aussi du céleri et des fraisiers alternés avec des pointes d'ail qui sont à présent compartimentés/plantés en attente de développements et partages.
Mais ce n'est pas juste cela qui, la saison venue, sera proposé à la gourmandises des passants bien inspirés. 
En intérieur d’îlot, dans le jardin, les légumes méditerranéens plus fragiles ont été installés avec des supports et protections multiples.
Pour les tomates, deux solutions distinctes ont été choisies!
Soit positionnées sous un auvent accolé au mur plein sud, ou en cadre potager avec structure de support qui serait couverte en cas de fortes pluies.
Les piments, poivrons et aubergines espèrent un été chaud et sec (ce qui est rarement le cas dans nos régions, surtout en juillet) et sinon, des cadres de fenêtres feront l'affaire.
Les cornichons et concombres, tressés dans un filet (récupéré des fêtes de fin d'année) n'ont qu'à bien s'y tenir.
Enfin, les courges (courgettes, potirons et autres) gorgées d'un compost bien frais feront sans doute le régal des limaces qui n'attendaient que cela!
Je l'avoue, je reste fidèle au recouvrement des terres par de la paille... histoire de préserver la terre du dessèchement... au risque d'y procurer le gîte malheureux des limaces et limaçons!
Contre ce dernier trouble, des multiples solutions existent pour s'en prémunir, mais je l'avoue, je continue d'expérimenter les coquilles d'oeufs, les granulés à base de sulfate de fer, ou la chasse au coup par coup pas toujours très efficace!

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